UNESCO : Campo Longo Croix-de-marbre

Première église paroissiale russe construite en Europe occidentale (1859), ses plans sont l’œuvre de l’architecte de la cour impériale Koudinoff.

De style art déco, cet immeuble de l’architecte Georges Dikansky, daté de 1929, adopte une rotonde d’angle surdimensionnée, donnant du mouvement à l’ensemble.

Édifié en 1907 par l’architecte Adrien Rey, il présente un rare parement de briques.

L’architecte René Livieri crée, à compter de 1939, un grand ensemble dont il rompt la monotonie au moyen d’une cour arborée ouverte sur le boulevard.

Centre de la vie sociale des hivernants originaires d’Amérique, ce lieu de culte est construit à compter de 1887, sur les plans de W. G. Haberson.

Cet hôtel a ouvert en 1880, œuvre de l’architecte Bernardin Maraini.

Cet immeuble est antérieur au plan régulateur de 1854, qui organise le quadrillage des voiries de ce nouveau secteur.

Comportant à son inauguration en 1933 un luxueux cinéma de 1600 places, l’immeuble est terminé par une tour-lanterne dont l’éclairage nocturne servait d’enseigne.

Cet édifice de 1898, de l’architecte Emmanuel Brun, fait la part belle à la céramique décorative : frises d’iris, cabochons, garde-corps au motif de chardon…

L'architecte René Livieri a conçu cet immeuble en 1938, utilisant des angles arrondis avec une tourelle en haut pour moderniser le concept de la rotonde d'angle avec dôme, qui était très courant dans les nouveaux quartiers depuis le début du XXe siècle.

En 1927, l’architecte Georges Dikansky édifie un immeuble aux profils et ornementation art déco, avec notamment les arcs à angles chanfreinés du rez-de-chaussée et la pergola sommitale.

Construites en 1894, œuvres de l’architecte Aaron Messiah, ces demeures étaient destinées à la location pour des invalides anglicans.

Lors de la création du boulevard, de nombreux immeubles ont été modifiés, modernisés, agrandis ou même démolis pour faire place à des constructions de taille plus importante.

Cet immeuble est édifié entre 1858 et 1865 par l’architecte Victor Sabatier pour son propre compte.

Ces deux villas, bien que construites en 1880 par des propriétaires différents, cherchent toutefois une unité par leur volume, leur retrait jardiné et la cour commune ouvrant sur le centre de l’îlot, lui-même végétalisé.

Dès 1820, un lieu de culte anglican existe à cet emplacement. L’église actuelle est édifiée de 1859 à 1862 par l’architecte britannique Thomas Smith.

L’immeuble de l’architecte Joseph Mars reçut une médaille au concours municipal d’architecture de 1903.

Achevé en 1913, il est l’œuvre de l’architecte Charles Dalmas. L’écrivain Gaston Leroux y vécu de 1919 à sa mort en 1927.

Pour cette construction, l’architecte Charles-Joseph Bellon multiplie balconnets et balcons.

Construite en 1903 par l'architecte Emmanuel Brun, cette villa présente les caractéristiques de l'art nouveau.

Ce type d’édifice, élevé par l’architecte Charles Dalmas, est exemplaire de nombreux immeubles niçois.

Un édifice rectangulaire se trouvait déjà à cet emplacement dès le début du XIXe siècle le long de la route Gênes - Paris.

Cette maison reçoit, probablement vers 1899, ce décor peint exceptionnel, par sa thématique savante de figures mythologiques et sa technique nécessitant un réel savoir-faire.

Prévu dans le plan d’aménagement du secteur au XIXe siècle, le jardin est inauguré en 1887 et prend le nom du roi de Wurtemberg, villégiateur assidu.

Le peintre à l’origine de ce décor remarquable, réalisé vers 1920, demeure inconnu.

L’architecte parisien Emmanuel Brun est l’un des rares à avoir offert à la ville de Nice des références art nouveau, où la courbe inspirée du végétal est privilégiée.

Ces deux villas, édifiées vers 1910, sont représentatives de maisons de ville, construites sur des parcelles n’autorisant pas le développement de grands jardins.

Le jardin du Grand hôtel continental est en partie loti à compter de 1930. S’y ouvrent alors deux rues dont les immeubles présentent une unité de style.

Le bâtiment construit en 1930 présente des sculptures et des ferronneries de grande qualité, qui contrastent avec le fond en ciment aux teintes sombres.

L’hôtel Atlantic et du Rhin, élevé en 1913 par Charles Dalmas, adopte une symétrie et une ornementation néo-classique.