Le Figaro s’arrête “un week-end à Nice”

29 septembre 2022

  • Presse

2 pages consacrées à Nice sont parues ce vendredi 23 septembre dans le quotidien français “Le Figaro”.

Au sein de la nouvelle rubrique “Votre week-end à…”, l’article évoque les plaisirs d’un séjour à Nice en arrière saison, la dolce vita et les balades culturelles à s’offrir, une fois la folie estivale passée.

Fruit d’une importante aide technique de la part du pôle presse de l’OTM, le sujet présente la révolution culturelle engagée il y a quelques années déjà et la candidature de la ville au titre de Capitale Européenne de la Culture en 2028.

Pour inciter les lecteurs à profiter au mieux de l’été indien le temps d’un week-end à Nice, la journaliste Sophie de Santis cite une quinzaine de bonnes adresses niçoises et lieux à visiter.

Les 3 premières suggestions concernent la Biennale des Arts “Nice, reine des fleurs” ; exposition à découvrir notamment au Musée Masséna (jusqu’au 9 octobre), au Palais Lascaris (jusqu’au 9 janvier 2023) et au Musée de la Photographie Charles Nègre (exposition terminée ce 25 septembre). Est également proposée la visite de l’exposition temporaire “Carambolage” à la galerie Espace à Vendre (jusqu’au 15 octobre).

L’auteure suggère ensuite de se faire plaisir en se dégustant des saveurs glacées aux saveurs originales chez Arlequin avant de s’initier à la création d’un parfum lors d’un atelier Chez Molinard. Les amateurs de marche sont, pour leur part, invités à longer la côte jusqu’au Cap de Nice avant de grimper au Mont-Boron et d’y admirer la magnifique vue sur la ville et la Méditerranée.

Du côté des restaurants, sont mis à l’honneur les établissements niçois suivants : Casa Becchio, Le Saint-Paul, le Bar de la Dégustation, le Restaurant Bar à Vins Rouge, le Café des Amis, Lavomatique et Babel Babel. Pour chacun d’entre eux, la journalise évoque ce qu’elle a aimé ou moins aimé.

Pour finir, le sujet met en lumière l’hôtel Le Windsor, de son jardin luxuriant et de ses chambres décorées par des artistes.

Le Figaro, plus ancien titre de la presse française encore publié, est diffusé à 350 397 exemplaires.
Son audience est estimée à 1 613 000 lecteurs.
La contre-valeur publicitaire de cette publication au bénéfice de la destination niçoise s’élève à 145 000 €/page, soit 290.000 € pour la double page.